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"CIVILISATIONS DU SOURIRE : Des Mondes où les Femmes Règnent"

"CIVILISATIONS DU SOURIRE : Des Mondes où les Femmes Règnent", mon nouveau livre, est à présent disponible aux Editions Clara Fama.
http://www.editionsclarafama.com/index.php?id_product=24&controller=product

Le principe féminin peut-il être considéré comme actif dans l’histoire de l’humanité ? Dans de nombreux systèmes sociaux, présentés comme universels, il n’existe qu'un seul modèle où l’homme domine : le patriarcat. La loi du plus fort y structure la société. Pourtant, bien des civilisations ont reconnu les valeurs féminines comme les plus importantes, et notamment la force de vie et la paix, comme c’est le cas aujourd’hui encore chez les peuples Mosos ou Naxis de Chine. Dès le Paléolithique, des indices incitent à voir dans le matriarcat la toute première organisation familiale. Plus tard au Néolithique, la sédentarisation permet l’émergence de communautés plus civilisées où le rôle des femmes est déterminant, comme à Chatal Hüyük. Durant l’antiquité, plusieurs civilisations éclatantes sont à orientation féminine : Crète, Egypte, Etrurie et tant d’autres… Même dans les pays dominés par l’homme, comme au Japon, en Chine ou en Occident, la vie apparaît un peu moins sombre dans les périodes où les femmes parviennent à imposer leurs valeurs, entraînant une véritable explosion civilisatrice et des mœurs plus douces. Qu’elles soient Amérindiennes, Anatoliennes ou Basques, Hittites ou Touaregs, les sociétés dominées par les femmes sont à l’évidence des mondes pacifiques et plus joyeux où il fait bon vivre. Des mondes plus égalitaires aussi, où ni hommes ni femmes ne sont réduits à l’état d’esclaves comme dans les sociétés patriarcales. Bref, des mondes un peu plus lumineux... Fruit de vingt années de recherches, ce troisième volet d’une série sur la place des femmes dans l’histoire de l’humanité vous invite à découvrir des civilisations célèbres ou méconnues où les femmes jouèrent un rôle prépondérant. De la Préhistoire à nos jours, un voyage instructif et tonique qui se lit comme un roman.

La constitution matriarcale iroquoise (source : matricien.org)

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Le palais de Stupinigi (1)

Le Griffon de Pavie, par Valérie Alma-Marie S'il y a bien un lieu que j'affectionne, c'est cette résidence royale proche de Turin, construite en 1729 sur ordre du roi Victor-Amédée II par son architecte préféré Filippo Juvarra. Vous avez eu la description de la Palazzina di Caccia dans "La Licorne et les Trois Couronnes" et "Le griffon de Pavie". http://www.editionsclarafama.com/index.php?id_category=17&controller=category Voici maintenant les photos. Ci-dessus, le Grand Salon central. En visitant ce palais, je m'y suis vraiment sentie comme chez moi, bien plus que dans le Palais Royal de Turin. C'est pourquoi j'en ai fait la résidence préférée de mon héroïne Camille de Barsempierre... Vous trouverez un second fichier de photos intéressantes ici : http://valerie-alma-marie.blogspot.com/2011/01/palazzina-de-stupinigi-les-appartements.html

Berthe Morisot : Le Jardin à Bougival.

Pour fêter le printemps qui s'annonce : Le jardin de Bougival, (1884). Très joli tableau de la maîtresse de la lumière, Berthe MORISOT, peintre impressioniste. (Musée Marmottan, Paris)  http://belleoemine.com/

La naissance de la Licorne et les Trois Couronnes

Tout en commençant le récit, j'entamais des recherches à caractère historique. Si je cernais bien le début de l'intrigue, il me manquait en effet le lieu et l'époque précise qui serviraient de cadre au roman. Il fallait que les héros parlent français (par commodité et parce qu'au XVIIIème siècle c'est la culture française qui rayonnait le plus - même si en réalité, c'était toute l'aristocratie européenne qui s'exprimait dans cette langue). Cependant, dans un souci d'originalité, il ne fallait pas que l'histoire se déroule en France même... La date, ce devait être entre 1730 et 1750, à cause de la beauté de la musique et de la mode vestimentaire à cette période, éléments qui devaient vraiment contribuer à mon inspiration. A force d'approfondir l'histoire européenne sur cette époque, et après avoir notamment exploré du côté de la Hongrie et du Schleswig-Holstein (Eh oui, Camille a bien failli être Allemande..!), je finis par découvrir ce