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Mes autres livres.

Dans la collection "Grands Thèmes" des Editions Clara Fama, 3 essais sur le rôle actif des femmes dans l'histoire de l'humanité :
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CIVILISATIONS DU SOURIRE : Des Mondes où les Femmes Règnent.  
Essai, 134 pages, 9 € - Valérie Alma-Marie

Le principe féminin peut-il être considéré comme actif dans l’histoire de l’humanité ? Dans de nombreux systèmes sociaux, présentés comme universels, il n’existe qu'un seul modèle où l’homme domine : le patriarcat. La loi du plus fort y structure la société. Pourtant, bien des civilisations ont reconnu les valeurs féminines comme les plus importantes, et notamment la force de vie et la paix, comme c’est le cas aujourd’hui encore chez les peuples Mosos ou Naxis de Chine. Dès le Paléolithique, des indices incitent à voir dans le matriarcat la toute première organisation familiale. Plus tard au Néolithique, la sédentarisation permet l’émergence de communautés plus civilisées où le rôle des femmes est déterminant, comme à Chatal Hüyük. Durant l’antiquité, plusieurs civilisations éclatantes sont à orientation féminine : Crète, Egypte, Etrurie et tant d’autres… Même dans les pays dominés par l’homme, comme au Japon, en Chine ou en Occident, la vie apparaît un peu moins sombre dans les périodes où les femmes parviennent à imposer leurs valeurs, entraînant une véritable explosion civilisatrice et des mœurs plus douces. Qu’elles soient Amérindiennes, Anatoliennes ou Basques, Hittites ou Touaregs, les sociétés dominées par les femmes sont à l’évidence des mondes pacifiques et plus joyeux où il fait bon vivre. Des mondes plus égalitaires aussi, où ni hommes ni femmes ne sont réduits à l’état d’esclaves comme dans les sociétés patriarcales. Bref, des mondes un peu plus lumineux...

Fruit de vingt années de recherches, ce troisième volet d’une série sur la place des femmes dans l’histoire de l’humanité vous invite à découvrir des civilisations célèbres ou méconnues où les femmes jouèrent un rôle prépondérant. De la Préhistoire à nos jours, un voyage instructif et tonique sous la houlette de Valérie Alma-Marie ...
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 LA GRANDE DEESSE : Dieu a été Femme.
Essai, 88 pages, 7 € - Valérie Alma-Marie.
 De tous temps et dans chaque pays, l’humanité a porté en elle de façon innée l’idée du divin. Mais comment définir l'indéfinissable ? Car si Dieu peut être appréhendé, il n'est plus Dieu ! L'homme a donc essayé de retranscrire en fonction de son propre environnement cette intuition d'une divinité. Ainsi, dans les sociétés guerrières dominées par les hommes en vertu du droit du plus fort, le principe actif sur le plan religieux est-il masculin. A l’inverse dans les civilisations faisant de la Vie la valeur suprême, le principe actif et dynamique sur le plan religieux est nécessairement féminin et émane d’une figure maternelle Toute-Puissante. C'est pourquoi de très nombreuses sociétés ont perçu la mystérieuse entité régnant sur le plan divin sous la forme d’une déesse…

De la préhistoire à nos jours, en passant par l'Antiquité ou le moyen-âge, cette Divinité Primordiale a pris des formes diverses : Démiurge, Déesse Solaire ou Céleste, tout autant que Déité aquatique, terrienne ou encore chtonienne... Elle s'est exprimée en Anatolie, en Crète, en Afrique, en Chine, en Arabie, dans toute l’Europe ; ou encore chez les Esquimaux, les Aborigènes, les Amérindiens, etc. La liste des peuples adorant cette Déesse Suprême sous une forme ou une autre est longue ; et la découverte de leurs mythes tout-à-fait passionnante ! Un panorama étonnant, puisque même la mystique chrétienne se fait l'écho de cet aspect féminin de Dieu ; tel le moine dominicain Maître Eckhart (1260-1328) proclamant : "Qu'est-ce que (Dieu) fait toute la journée? (Dieu) donne la vie. De toute éternité (Dieu) repose sur un lit d'accouchement et il donne la vie." (Maître Eckhart, 80/157).

Fruit de vingt années de recherches, cet ouvrage est le premier d’une série sur la place des femmes dans l’histoire de l’humanité. L’auteur, Valérie Alma-Marie, y dresse un portrait universel et universaliste de la Grande Déesse Primordiale. Une quête passionnante qui peut s’avérer très enrichissante pour tout un chacun, en permettant de renouer avec ce grand principe féminin longtemps occulté qui, «toute éternité», réside au fond de chaque être et fait de lui un enfant de la Création.
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SAGES, MYSTIQUES ET SAVANTES : Les Initiées.
Essai, 134 pages, 8 € - Valérie Alma-Marie.
La contribution féminine à l'évolution de l'humanité est considérable, en dépit de ce qu’en laisse voir l’Histoire : culture, sagesse, techniques, arts et spiritualité ont toujours figuré parmi les terrains d'élection des femmes. Ainsi, le tout premier médecin dont on connaisse le nom dans l’histoire de l’humanité est une femme, l’Egyptienne Mérit Ptah (2700 av.JC). Ce sont aussi des femmes qui construisirent l’apogée de l’Egypte pharaonique, la 18ème dynastie. L’Antiquité connut de nombreuses femmes philosophes : de l’attachante Théano jusqu’à la flamboyante Hypatie, sans oublier Aspasie, Sappho, et tant d’autres. En Chine, elles firent des découvertes fondamentales : soie, papier, agriculture… Le monde chrétien fourmilla également de figures exceptionnelles, saintes ou lettrées : autour de Jésus, sa mère et Marie de Magdala ; plus tard, les premières chrétiennes romaines, puis les abbesses mérovingiennes - seules personnes de leur temps sachant lire et écrire, et sans qui la culture antique aurait disparu. A leur suite, les grandes mystiques furent innombrables, telles Hildegarde de Bingen, Hadewijch, Mechtilde, Héloïse, et d’autres encore dont le destin et le message nous touche… Chez les Soufis, les femmes furent de véritables maîtres spirituels. Plus près de nous, elles eurent une action considérable au sein de la Rose-Croix ou du martinisme.
Partout donc, des femmes se sont illustrées, en dépit parfois des interdits et des difficultés d’accès au savoir, ou même au péril de leur vie. Ces oubliées de l’Histoire furent souvent discrètes, mais leur rayonnement n'en fut pas moins intense. Aussi, toutes ces femmes lumineuses du passé, les célèbres et les inconnues, ces innombrables figures qui ont construit le monde dans ce qu'il a de plus positif et de plus précieux, les martyres et les reines, les savantes et les mères, les saintes, les anonymes... toutes méritaient bien que l'on évoque leur mémoire en quelques pages fugitives.
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Le palais de Stupinigi (1)

Le Griffon de Pavie, par Valérie Alma-Marie S'il y a bien un lieu que j'affectionne, c'est cette résidence royale proche de Turin, construite en 1729 sur ordre du roi Victor-Amédée II par son architecte préféré Filippo Juvarra. Vous avez eu la description de la Palazzina di Caccia dans "La Licorne et les Trois Couronnes" et "Le griffon de Pavie". http://www.editionsclarafama.com/index.php?id_category=17&controller=category Voici maintenant les photos. Ci-dessus, le Grand Salon central. En visitant ce palais, je m'y suis vraiment sentie comme chez moi, bien plus que dans le Palais Royal de Turin. C'est pourquoi j'en ai fait la résidence préférée de mon héroïne Camille de Barsempierre... Vous trouverez un second fichier de photos intéressantes ici : http://valerie-alma-marie.blogspot.com/2011/01/palazzina-de-stupinigi-les-appartements.html

Berthe Morisot : Le Jardin à Bougival.

Pour fêter le printemps qui s'annonce : Le jardin de Bougival, (1884). Très joli tableau de la maîtresse de la lumière, Berthe MORISOT, peintre impressioniste. (Musée Marmottan, Paris)  http://belleoemine.com/

La naissance de la Licorne et les Trois Couronnes

Tout en commençant le récit, j'entamais des recherches à caractère historique. Si je cernais bien le début de l'intrigue, il me manquait en effet le lieu et l'époque précise qui serviraient de cadre au roman. Il fallait que les héros parlent français (par commodité et parce qu'au XVIIIème siècle c'est la culture française qui rayonnait le plus - même si en réalité, c'était toute l'aristocratie européenne qui s'exprimait dans cette langue). Cependant, dans un souci d'originalité, il ne fallait pas que l'histoire se déroule en France même... La date, ce devait être entre 1730 et 1750, à cause de la beauté de la musique et de la mode vestimentaire à cette période, éléments qui devaient vraiment contribuer à mon inspiration. A force d'approfondir l'histoire européenne sur cette époque, et après avoir notamment exploré du côté de la Hongrie et du Schleswig-Holstein (Eh oui, Camille a bien failli être Allemande..!), je finis par découvrir ce