Un dépaysement dans le temps et dans l'espace. C'est ce que je recherchais avec ce roman. Je souhaitais aussi mettre en scène une confrontation entre deux univers opposés, et les différences de mentalités que cela implique. Car j'aime les personnages qui avancent, qui s'ouvrent aux autres, et qui évoluent dans leurs certitudes pour un plus grand épanouissement personnel et le bien de tous (cela est tout aussi vrai dans la vie réelle).
La rencontre entre le monde des Vikings et celui de Constantinople, si différents, se prêtait admirablement à toutes ces exigences. Et elle pouvait donner lieu à un choc des civilisations et engendrer des situations tantôt drôles, tantôt dramatiques, qui font la véritable richesse d'une histoire.
D'autre part, mettre en scène des vikings me permettait de corriger en partie le jugement injuste que les Français portent souvent sur ces hommes du nord, et de parler de cette Scandinavie que pour ma part j'apprécie énormément. C'est l'historien Régis Boyer qui a constitué ma principale source de recherches; mais pas la seule puisque désormais, avec internet, l'accès aux études, notamment en Anglais, est démultiplié -et c'est là une grande différence avec l'époque héroïque de la rédaction de la "Licorne".
Néanmoins, "rendons à César ce qui est à César", la véritable instigatrice de ce choix a été ma fille, qui est une fan des vikings. C'est sa volonté -très forte- qui a été l'élément déclencheur de ce roman, prolongeant finalement ainsi une sorte de tradition familiale, puisque vous vous souvenez peut-être que pour "La Licorne", c'est ma propre envie d'une roman conforme à mes goûts qui m'avait amenée à prendre la plume...
Et je dois la remercier de son entêtement, car la rédaction de ce "Drakkar" a constitué pour moi 8 mois de pur bonheur !
En lien, voici une vidéo sur Youtube donnant une petite idée de la ville de Birka, première "Capitale" de Suède.
http://www.youtube.com/watch?v=r7uXZSowFPw
http://www.editionsclarafama.com/index.php?id_product=12&controller=product
La rencontre entre le monde des Vikings et celui de Constantinople, si différents, se prêtait admirablement à toutes ces exigences. Et elle pouvait donner lieu à un choc des civilisations et engendrer des situations tantôt drôles, tantôt dramatiques, qui font la véritable richesse d'une histoire.
Maison viking. |
Néanmoins, "rendons à César ce qui est à César", la véritable instigatrice de ce choix a été ma fille, qui est une fan des vikings. C'est sa volonté -très forte- qui a été l'élément déclencheur de ce roman, prolongeant finalement ainsi une sorte de tradition familiale, puisque vous vous souvenez peut-être que pour "La Licorne", c'est ma propre envie d'une roman conforme à mes goûts qui m'avait amenée à prendre la plume...
Et je dois la remercier de son entêtement, car la rédaction de ce "Drakkar" a constitué pour moi 8 mois de pur bonheur !
En lien, voici une vidéo sur Youtube donnant une petite idée de la ville de Birka, première "Capitale" de Suède.
http://www.youtube.com/watch?v=r7uXZSowFPw
Maison viking : vue intérieure. |
http://www.editionsclarafama.com/index.php?id_product=12&controller=product